Genocide An 2 - J 17 : collabos du "service public"
jeudi 24 octobre 2024 par SHAHSHAHANI Volodia
A priori tout procureur en poste depuis le 7 octobre 2023 pourra être considéré comme complice du génocide commis à Gaza aux yeux de tous et revendiqué avec sadisme.
Cette généralisation a priori est la même que celle qui vaut pour les politiciens et les médiacrates, sauf preuve explicite et publique du contraire. Rien n’empêche cependant de "signaler" - pour emprunter le vocable de l’ennemi - quelques uns de ces complices.
– Paris, le mercredi 23 octobre, le tribunal judiciaire de Paris, qui siège depuis 2018 dans le 17ème arrondissement et est présidé depuis 2021 par Laure Beccuau, s’est mis au service d’organisations ouvertement génocidaires puisque sionistes, donc anti-juives comme elles sont anti-musulmanes : crif, bnvca, uejf, licra etc. lesquelles ont demandé 10 000 euros pour chacune en récompense. Le procureur n’a pas été aussi généreux requérant "seulement" 8 mois de prison avec sursis et 2000 euros d’amende contre Elias d’Imazalene. pour avoir appelé à une Intifada. Ceci au mépris des juifs anti-sionistes qui étaient venus le soutenir.
– En Isère (Moirans), le 8 octobre Yanis Arab a été victime d’un véritable commando de gendarmerie obéissant à la grotesque accusation d’ "apologie de terrorisme" sur injonction d’un procureur spécialiste du genre, Eric Vaillant, au service du groupuscule pro-génocide qui prétend représenter les "juifs dauphinois". Echantillon grenoblois comme ici ou là
Ces collabos ne sont même pas capables d’entendre les paroles censées de l’ex-juge anti-terroriste, Marc Trévidic : "Un simple tag en soutien à la Palestine vous fait encourir la prison".


